Chrichri !!!!!!!! Snif son départ, ça m'a fait pareil. D'autant plus que j'ai pas accroché à Tennant à la base.
Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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1.13 - À la croisée des chemins
The Parting of the Ways (2)
Les Daleks ont rassemblé leur flotte pour se lancer à l'attaque de la Terre. Le Docteur renvoie Rose à son époque pour l'épargner du terrible sacrifice qu'il s'apprête à faire pour éradiquer les Daleks. Cependant, Rose ne peut accepter de reprendre une vie normale auprès de sa mère et de Mickey...
Diffusion originale : 18 juin 2005
Diffusion française :
18 juin 2005
Réalisat.eur.rice.s :
Joe Ahearne
Scénariste.s :
Russell T. Davies
Guest.s :
Nicholas Pegg
,
David Hankinson
,
Anne Robinson
,
Nicholas Briggs
,
Camille Coduri
,
Jo Stone-Fewings
,
Noel Clarke
,
Nisha Nayar
,
Jo Joyner
,
Paterson Joseph
,
David Tennant
,
Alan Ruscoe
,
Barnaby Edwards
,
John Barrowman
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 02 janvier 2024 à 14:30 |
La première partie de l'épisode était sympa, mais j'ai eu du mal à comprendre où elle voulait aller. Certes, c'est plutôt cool de voir une sorte de parodie des émissions du moment, cependant, il m'a manqué quelque chose pour accrocher réellement à l'intrigue. A contrario, j'ai adoré la seconde partie. J'aime beaucoup les Daleks, et la tension qui règne dès qu'ils sont présents à l'écran. La relation entre le Docteur et Rose est également développée, et la voir aussi impuissante et déchirée lorsqu'il tient à la protéger et la renvoit chez elle était passionnant à voir. Cela a déjà été dit, mais l'évolution du Docteur est très bonne aussi. Lui qui n'aurait pas hésité à tuer le moindre Dalek quelles que soient les conséquences préfère désormais se sacrifier afin de tenter de préserver l'humanité. Si le Docteur a changé Rose, c'est évident que l'inverse est vrai. En parlant de Rose, j'ai également apprécié la manière dont elle parle à sa mère concernant son père (forcément, on reparle de mon épisode chouchou), et l'évolution des échanges qu'elle a avec Mickey. Par contre, même si j'aime beaucoup David Tennant, je suis triste de ne plus voir Christopher Eccleston. J'ai l'impression qu'on a à peine eu le temps de s'y attacher qu'il est déjà parti. J'aurais vraiment aimé qu'il soit au moins dans la saison 2. |
Avis favorable | Déposé le 25 juin 2020 à 23:57 |
Bad Wolf et The Parting of the Ways est le tout premier final de saison de Doctor Who, et un final de saison dans Doctor Who c'est très souvent l'égal d'un bouquet final après un très long et très beau feu d'artifice. Et ce bouquet final, il se traduit par une critique des jeux télévisés. Après les médias dans The Long Game, c'est au tour de la télé-réalité et autres Maillon Faible de se faire satirer dans l'introduction d'un double épisode qui finira dans des conditions pour le moins particulière. Car, en effet, ce double épisode signe le retour des Daleks, mais cette fois-ci ils ne sont pas seuls, ils sont une armée se comptant par plusieurs centaines de milliers ! Tous recréés à partir de corps humains et de cellules de l'Empereur des Daleks. Il s'agit d'une race de Dalek impure, mais qui refusent eux-même de l'admettre, accusant de blasphème le Docteur quand il mentionne le fait que ces Daleks sont à moitié humain. Car en effet, ces nouveaux Daleks vouent un véritable culte à l'Empereur des Daleks, considéré comme Dieu. Une idée intéressante, surtout quand les Daleks ont été établis comme une menace à l'humanité dès l'épisode 6, même en étant seul. La tension de cet épisode s'est majoritairement créé grâce à "Dalek", qui a clairement rendu les Daleks plus menaçants que jamais dans l'imaginaire collectif et ça se paye. Et de l'autre côté, on a la tension des jeux télévisés : chaque participant qui perd à un jeu télévisé en est désintégré (enfin plutôt téléporté dans le vaisseau des Daleks afin d'être transformés en eux). Cette tension se traduit par des séquences de Big Brother avec le Docteur où chaque personne évincée finit désintégré, des séquences d'une émission de mode meurtrière avec Jack Harkness et surtout des séquences de Maillon Faible avec Rose où "Anne-Droid" élimine le maillon faible, et rien que pour le Maillon Faible cet épisode s'accorde le titre d'une de mes ambiances préférées de toute la série. Je n'ai jamais plus de la vie pu penser au Maillon Faible sans penser à cet épisode, tant il m'a marqué, et pour de bonnes raisons. Car cet épisode, c'est l'épisode où tout le développement de Rose prend son sens : on passe d'une fille qui mène une vie banale et qui finit par découvrir un autre mode de vie avec le Docteur, devenant non seulement bien plus forte et plus courageuse, mais également dépendant de ce nouveau mode de vie. Lorsque le Docteur décide d'abandonner Rose sur Terre avec son TARDIS, et cette séquence est au passage tout simplement magnifique avec sa musique au piano et son hologramme du 9ème Docteur qui essaye de convaincre Rose qu'il a fait le bon choix de respecter la volonté de Jackie Tyler et de ramener sa fille saine et sauve dans une situation où elle n'aurait pas pu suurvivre, Rose se met à pleurer devant Mickey et Jackie quand elle se rend compte que sa vie dans l'espace avec le Docteur est terminé, comme le Docteur elle refuse d'abandonner. Mais cet épisode, c'est surtout la première étape de la résolution du fil rouge de la Guerre du Temps : le Docteur doit de nouveau faire face à une situation où les Daleks mettent en danger une population entière (autrefois Gallifrey, maintenant la Terre) et dont la seule solution qu'il trouve est le double génocide. Et c'est très beau, car ça permet de remettre en contexte ce qui l'a poussé à faire ce choix durant la Guerre du Temps, mais aussi de voir son évolution au fil de cette saison. Dans "Dalek", il n'aurait pas hésité à détruire l'humanité pour protéger l'univers d'un seul Dalek. Ici, il préfère être lâche en n'activant pas les ondes delta et mourir afin de laisser à l'humanité une chance de s'en sortir face à 200 000 Daleks, même si il sait très bien que c'est statistiquement improbable que l'humanité ou même le reste de l'univers s'en sorte. C'est un développement de personnage propre au 9ème Docteur, sa haine et sa colère du début de la saison s'est peu à peu transformée en pitié et en empathie. C'est un Docteur qui se remet de ses traumatismes de guerre, et qui s'en remet grâce à sa relation avec Rose. En vivant des aventures où il voit un Dalek se suicider et commettre un génocide car il ressent des émotions, où il voit le père de Rose se sacrifier pour sauver l'humanité, où il combat une menace virale durant une guerre sanglante mais dont chaque victime en finit vivante et guerrie de leurs blessures, il s'est reconstruit une humanité. Et cette humanité, on le doit à ces deux mots : "Bad Wolf". "Bad Wolf" est à la fois la meilleure et la pire chose qui est arrivé à ce double épisode. La meilleure pour des raisons évidentes : ces mots sont un symbole de la réunion entre le Docteur et Rose, une réunion qui a permis à l'un des êtres les plus importants de l'univers de se trouver une conscience et de regagner de l'empathie, de l'humanité. La pire, car elle a aussi servi de deus ex machina. Deux ex machina dont j'ai énormément de sympathie tant il a été teasé au long de la saison, mérité par Rose, et qui aura finalement donné la mort du 9ème Docteur, mais qui reste une facilité scénaristique un peu décevante au vu de la qualité de l'épisode, et qui sépare selon moi l'excellence de cet épisode à la perfection (même si ça reste mon épisode préféré de la saison). "Bad Wolf" a également marqué les esprits car il s'agit du fil rouge de la saison, et qu'il s'agit d'une démarche de se démarquer de la série classique ne possédant rarement un fil rouge (on a bien l'ermite dans les épisodes du 3ème Docteur ou l'arc de la Clé du Temps dans la saison 16 mais ça s'arrête là en général). À titre personnel, j'aime énormément ce fil rouge, car il est très simple et en apparence inexpliquable. La personne qui visionne la série est récompensée par son implication, et j'ai personnellement ressentie beaucoup de fierté quand j'ai remarqué que le tag sur le TARDIS à la fin de l'épisode 5 était étonamment similaire au nom de code de l'hélicoptère de l'épisode 6, et savoir que tout ce setup a un payoff aussi grandiloquant est probablement l'une des choses les plus satisfaisantes de toute la série. Et si je trouve que cette saison est aussi remarquable, ce n'est pas juste pour le duo du 9ème Docteur et de Rose qui présente une réelle alchimie où souvent les deux sont confrontés à des disputes pour des choix moraux, pas juste pour avoir fait revivre cette série qui cible autant les nouveaux fans que les anciens, pas juste pour avoir créé des personnages secondaires remarquables comme Mickey Smith, Jackie Tyler ou surtout Jack Harkness, pas juste pour son fil rouge discret mais satisfaisant, pas juste pour son lot d'épisode marquants voire absolument géniaux (Dalek, Father's Day, The Doctor Dances, The Parting of the Ways...), pas juste pour son ambition démesurée par rapport au budget donné pour les décors et les effets spéciaux (bien que ça fasse partie du charme de cette saison), mais également pour être celle avec la continuité interne la plus forte : pas un seul épisode n'est dispensable pour comprendre la fin, mais pourtant tous peuvent être vus séparément. Car, si vous souhaitez tout comprendre de Bad Wolf/The Parting of the Ways, il faudra d'abord que vous regardiez The Long Game afin de comprendre l'histoire du Satellite 5 et Dalek afin de connaître les Daleks, mais également Boom Town si vous voulez savoir pourquoi Rose veut regarder le coeur du TARDIS, ainsi que de comprendre ce qu'est l'extrapolateur qui permet au TARDIS et au sommet du Satellite 5 d'avoir un champ de force. Boom Town qui est évidemment irregardable sans avoir vu Aliens in London/World War Three, puisqu'ils introduissent les Slitheens et Margaret Blaine, mais également The Inquiet Dead puisque c'est cet épisode qui introduit la faille spatio-temporelle à Cardiff, ainsi que The Empty Child/The Doctor Dances, puisqu'il introduit le personnage de Jack Harkness, qui restera présent jusqu'à la fin de la saison. Et n'oublions pas que Father's Day est mentionné par Rose, quand elle veut convaincre Jackie d'ouvrir le coeur du TARDIS, puisqu'elle lui rappellera que c'est grâce au Docteur que Pete a eu plusieurs heures de vie supplémentaire. Et évidemment, toute la saison est irregardable sans avoir vu Rose et The End of the World, qui sont les deux épisodes d'introduction à la série qui sont inséparables malgrés le fait qu'il s'agisse de deux épisodes totalement séparés. Et vous pouvez vérifié, j'ai mentionné tous les épisodes de la saison 1. Cette saison 1 est la seule à avoir une continuité interne aussi forte, et ce même 15 ans après. Et pourtant malgré tout, chaque épisode peut être vu comme un stand-alone, même le final qui se tient sur beaucoup de chose, reste dans les faits un épisode se portant sur la critique de la télé-réalité, que tout le monde peut regarder tout en comprenant la globalité de l'épisode. Et enfin, commment peut-on passer à côté du jeu d'acteur absolument brillant de Christopher Eccleston ? Il s'agit du Docteur de la guerre, celui des traumatismes, qui finit par celui de l'empathie. Un développement naturel qui sera plus ou moins emprunté par Peter Capaldi (que je trouve excellent aussi, même si son développement est clairement moins impressionnant que celui d'Eccleston). Christopher Eccleston est malheureusement l'acteur à avoir incarné le Docteur (sans compter John Hurt) à avoir eu le moins de temps à l'écran après le 8ème Docteur de Paul McGann, voire celui à avoir eu le moins de représentation tout court si on compte la série audio de Big Finish. Ce qui donne lieu à ce qui est selon moi le Docteur le plus sous-estimé de toute la série, ce n'est clairement pas le talent qui lui manque mais avoir une seule saison reste assez faiblard par rapport aux trois de David Tennant, Matt Smith, Peter Capaldi et probablement Jodie Whittaker (et ça c'est sans compter l'ancienne série et ses 7 saisons de Tom Baker !), et il s'agit d'un Docteur clairement sous-estimé, alors qu'il s'agit de l'un des plus intéressants. Il laisse sa place au 10ème Docteur de David Tennant pour les trois saisons suivantes, que j'apprécie beaucoup mais qui ne figurera pas dans mon top 3 personnel. Pour conclure, je pense que cette saison 1 n'est pas définissable en un seul autre mot que fantastique. Il s'agit de ma saison préférée de la série, non pas en terme d'épisode bien qu'il ne soit clairement pas en retrait sur cet épisode, mais en terme de vision générale. RTD était un fantastique showrunner, et il est arrivé à faire du revival de la série un évènement bien plus important qu'un simple revival : une réelle nouvelle vision de la série, une vision éducative mais divertissante, une vision tout publique mais mature, une vision d'ambition visuelle malgré un budget faible. Une vision qu'il respectera pour les trois saisons suivantes, mais le travail de cet homme ainsi que de Christopher Eccleston sur cette saison 1 restera malgré tout proche de la perfection. Si il y a bien une saison à regarder de toutes les 57 ans de la série, c'est bien celle-là. Et si ce n'est pas la meilleure en terme d'épisode, c'est qu'il y a encore mieux à voir après ! |
Avis favorable | Déposé le 03 décembre 2018 à 14:58 |
Un joli épisode final pour le run d'Eccleston. Il commence à être un peu frustrant de voir que dans DW la mort n'est pas quelque chose de très concret concernant les personnages principaux. Si je en suis pas le plus grand fan des Daleks au monde, ils arrivent toujours à en imposer, et la fin avec Rose est super badass. Il y a quelques moments un peu mous, mais rien que pour les derniers mots d'Eccleston, cet épisode aura une bonne note ! Place à l'ère Tennant ! |
Avis favorable | Déposé le 25 juillet 2018 à 22:02 |
Spoiler
Ils sont notre pire visage, et ils font aboutir ce qu’il y a de plus terrifiant en nous, mais dans sa dernière bataille ce Docteur préfère quand même être un lâche qu’être comme eux (les capitalistes). |
Avis neutre | Déposé le 13 avril 2016 à 11:51 |
Mince ! Sans vraiment m’y attendre, j’ai été déçu par cet épisode. Je m’attendais à quelque chose d’extraordinaire grâce à l’affrontement avec les Daleks, mais ça n’a pas vraiment été le cas. La faute à une intrigue qui tombe finalement très vite à plat. Parce qu’en réalité, on comprend assez vite que le plan d’invasion des Daleks n’est en fait qu’un prétexte, une manière d’offrir à ce docteur une sortie héroïque. D’un côté, on a Jack et le Docteur qui mettent à exécution leur plan. Le premier assurant la défense de l’autre pendant que celui-ci termine ses préparatifs. Il y a des scènes d’affrontement et des morts, mais c’est finalement très secondaire et expéditif. De l’autre côté, il y a Rose qui cherche à revenir auprès du Docteur après avoir été congédié par lui dans le but de la protéger. Là, c’était un peu plus intéressant comme intrigue, en tout cas dans sa deuxième partie (parce que dans la première, y’a Mickey et je n’aime pas Mickey). Le fait que Rose veuille rejoindre à tout prix le Docteur était une bonne idée. Le fait qu’elle utilise l’âme du TARDIS pour y parvenir aussi. Je trouve que ça démontre le lien profond qui uni désormais ces deux personnages. Un lien qui apparaît clairement dans la scène où le Docteur embrasse Rose afin d’absorber l’énergie qu’elle a accumulé. Pour ça et aussi pour la scène de régénération, j’ai aimé cet épisode. Mais cela ne m’empêche pas d’être déçu. L’intrigue des Daleks est décevante et son traitement maladroit et en plus, je n’ai pas compris grand-chose à cette histoire de « Bad Wolf » si ce n’est que Rose est le Bad Wolf. C’est moi ou c’est une idée assez foireuse quand même ? |
Avis favorable | Déposé le 10 novembre 2014 à 22:59 |
Le meilleur épisode de la saison, selon moi. Je m'étais toujours demandé si les différentes interprétations du Doctor Who renvoyaient au même personnage ou pas (sachant que c'est supposément le seul survivant parmi les Seigneurs du Temps). En fait, c'est un peu des deux et je trouve ça plutôt bien amené. Pas une once d'humour dans cet épisode mais beaucoup d'émotion. Je ne suis pas sûr de retrouver un docteur aussi attachant que celui campé par Eccleston. J'ai hâte toutefois de commencer la S2 ! |
Avis favorable | Déposé le 21 octobre 2014 à 03:13 |
Dernier épisode ou les Daleks sont imposants avant la saison 7... Très bon final avec un excellent twist sur Rose (C'était une très bonne idée de faire une intrigue sur la compagne (Si si RTD l'a fait avec Rose et Donna ce n'est pas une idée de Moffat ) ) |
Avis favorable | Déposé le 15 octobre 2014 à 23:33 |
Avis modéré par la rédaction de Série-All. |
Avis favorable | Déposé le 08 octobre 2014 à 19:26 |
Pour la personne néophyte en Dalek comme moi, cet épisode est super important car il permet d'appréhender la réel menace destructive de ces mutants-robots à la voix déchireuse de tympan. Puis allier kitsch, décor branlant, SFX cheap et émotion, j'ai envie de dire : chapi chapo |
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Critique : Dr Who (2005) 1.01
Ça fait un bon moment que je me tâte pour regarder cette série. J’en ai entendu beaucoup de bien, mais le concept me faisait peur. Et puis hier soir, j’ai sauté le pas.
Bilan : Dr Who (2005) saison 1
Ça y est, j'ai vu la saison un de LA série, celle encensée par tout le monde, celle dont on parle de plus en plus, celle que je lorgnais d'un œil méfiant, de loin, en me disant des « et si... » et des « peut-être que... » à tout va. Après un premier épisode interpellant, le reste de la saison part sur des chemins qu'elle n'aurait peut-être pas dû emprunter...
J'ai beaucoup aimé cette fin de saison même si toute la partie de résolution de l'intrigue est vraiment éclatée au sol. Du gros gâchis d'un fil rouge dont j'attendais beaucoup d'originalité.
Par contre, outre cette ombre au tableau, eh bien j'ai fortement apprécié à peu près tout le reste, et notamment le fait que toutes les petites choses que nous avons appris au fil de la saison prennent du sens.
Très triste de ne plus voir ce Docteur que j'ai vraiment adoré mais bon je sais que pour l'avenir on va avoir des supers acteurs aussi donc espérons qu'ils soient à la hauteur !